mardi 1 janvier 2013

Black Verva, une expérience envoutante

Black Verva réunit des musiciens de trois anciens groupes rueillois (Maya Shanti, The Félix Faure Death et The Queen Couine). Les six membres sont passés par les lycées Richelieu et Passy, ils ont aujourd'hui entre 22 et 24 ans et se retrouvent autour d'un beau projet : monter un groupe indie-pop. Avec leurs chansons, ils nous invitent à un voyage au-delà de l'attraction terrestre où on se laisse guider, un peu en apesanteur, un peu ébahi aussi, vers des sons qui nous transportent.



Tout commence quand Nicolas poste deux chansons sur Facebook : ça plaît, on leur propose de faire un concert au Truskel à Paris en octobre 2011, puis d'autre concerts après, notamment au Bus Palladium en février 2012. Ils enregistrent chez eux un EP de 4 morceaux (EP_a) que l'on peut écouter sur http://blackverva1.bandcamp.com/. Le prochain est prévu pour l'été prochain, quand les membres du groupe auront puisé leur inspiration à Hong-Kong, au Luxembourg et ailleurs.
Martin (batterie) et Nicolas (chant) ont répondu aux questions farfelues de Tatoo.

Quelle œuvre emmèneriez-vous sur une île déserte ?
Martin : L'album Kid A de Radiohead.
Nicolas : Le roman de Dostoïevski, Crime et châtiment.

Vous avez des tatoos ?
Nicolas : Je me suis fait faire un tatouage de manière assez spontanée à Berlin, en revenant du Sziget festival où j'avais eu une vision. C'est un œil de la providence, mais l'œil est fermé.

Le dernier disque que vous avez écouté ?
Martin : Shields, de Grizzly Bear.
Nicolas : Rachmaninov.

Retrouver l'album de Balck Verva à la Médiathèque sur le Pôle Musique (cote : 2 BLA).
Black Verva prépare un 2ème EP pour l'automne 2013. A suivre...

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